Mardi, 18 février 2014
Depuis que je suis au Royal Decameron, j'entends parler de Woody où on peux utiliser le WiFi gratuitement en buvant un petit blanc frais sans prétention, délicieux une fois dans le contexte de vacance en écoutant une chanson espagnole qui parle d'amour et de trahison mais comme dit la chanteuse "laissons parler les mots et nos corps"! Bon!
Le vent rafraichit l'air un peu malgré le soleil qui plombe depuis notre arrivée au Panama. Nous avons eu 2 journées nuageuses à la ville de Panama. Ici, une ou deux par semaine, mais le soleil sort de sa cachette, dans cette situation, vers 14h00 pour nous rappeler qu'ici il fait toujours beau.
Après le départ des filles, la première journée fut un peu triste. Le lendemain, j'ai fait des réservations dans des restos que nous n'avions pas encore essayés. Ca m'a fait du bien.
Sur la plage, le jour de la Saint-Valentin, nous avons été jeté dehors de notre "jardin anglais" comme je l'appelle, car des chaises blanches s'enlignent sur le parterre garni d'arbres géants, de fleurs et de fourmis qui nous rappellent qu'elles sont chez-elles! Un mariage panaméen-chinois avait lieu cette journée-là! On se demande encore qui a payé pour tous ces invités, en majorité chinois. Hum! Y-a de l'argent là-dedans!
Je me suis rendue sur la plage pour squatter une place sous une tente. C'est là que j'ai fait connaissance de Cécile et Réjean, un couple vraiment très sympathique !
Comme je lis Ho'Oponopono, j'y vois une rencontre profidencielle: elle est retraitée de la SAQ. Nous parlons vins, dégustations, de nos vies respectives. Tout est facile entre nous! On verra bien! Il faut dire que les gens de la Gaspésie nous ressemblent!
Joyeuses Saint-Valentin à vous que j'aime!
Je vais retourner maintenant retourner sur la plage du Royal Decameron sous un soleil que me fait suer! Une chance que j'aurai la piscine fraiche pour accueillir mon corps bouillant. J'ai mon petit parasol aussi qui m'attend. Je m'y installe seule, face à la mer, avec les oiseaux qui me paient une visite plusieurs fois par jour. Par contre, je n'ai pas encore reçu de visite de mon cher époux sur ma plage que je bénie tous les matins. Il préfère l'ombre des grands arbres du «Jardin anglais»! Sur cette petite boutade, hasta luego!